Vive la création française féminine !

Le pouvoir de l’entreprenariat est aux femmes !
Bien que crier victoire ne soit pas encore d’actualité, de plus en plus de femmes se lancent dans l’aventure. Et pour cause, elles ont toutes les qualités requises ! Cette année, cinq nouvelles créatrices ont rejoint les rangs de CQFD, pour notre plus grand bonheur !

Au sommaire

La création française féminine : L’entreprenariat se conjugue assurément au féminin !

En effet, les mouvances de ces dernières années ont permis de développer des systèmes associatifs et autres fondations regroupant la parole des femmes. Ces cercles d’influences donnent de la voix et de la visibilité aux femmes, dans tous les domaines et notamment celui des affaires. C’est qu’à s’entendre dire durant des décennies qu’elles sont le sexe faible, les femmes ont développer des capacités sociales et solidaires qui les rendent extrêmement fortes. #empowerment

Des créatrices et une équipe féminine et fières de l’être !

Chez CQFD, nous sommes très fières d’être une équipe à majorité féminine et de soutenir de nombreuses créatrices au sein de la boutique. Cette année nous avons d’ailleurs accueilli 5 nouvelles créatrices :

nos créatrices made in france
  • Nos créatrices : Véronique Lacaze, créatrice d’ADADA

À l’origine d’ADADA, il y a Véronique Lacaze, architecte d’intérieur diplômée des Arts Décoratifs de Paris. Véronique entame ses débuts de carrière au Printemps où, elle devient chargée de projet des vitrines animées de Noël.
Elle commence alors à dessiner les mascottes du Printemps, ces célèbres personnages du boulevard Haussmann qui, à chaque fin d’année, font rêver les petits comme les grands. 
En 2001, elle quitte le Printemps pour se consacrer pleinement à son métier d’architecte d’intérieur.
Mais en 2015, le Printemps la contacte à l’occasion des 150 ans des Grands Magasins. Elle réalise alors, pour le Printemps et de nombreuses marques de luxe, tous les personnages des vitrines, et des personnages monumentaux suspendus sur la façade du Printemps.
Passionnée par ces univers empreints de magie, de rêve et d’imagination, Véronique Lacaze imagine en 2019 un monde de doudous réconfortants et attachants, aux personnalités peu communes. ADADA est né.

La Gentle Factory née en 2013 sous l’impulsion de Christèle Merter, ingénieure textile passionnée. Elle est chargée de la qualité et du développement durable du groupe Happy Chic. Elle imagine un premier prototype est créé : un pull 100% recyclé. La Gentle Factory fabrique des capsules made in France pour des enseignes du groupe telles que Jules, Brice et Bizzbee, puis fini par proposer ses propres corners de vente.
Quatre ans après sa création, La Gentle Factory développe son propre réseau de distribution.
En janvier 2019, La Gentle Factory quitte le groupe Happychic et devient indépendante

  • Nos créatrices : Toshiko Akahori, créatrice de l’Atelier AKKA

Toshiko Akahori est originaire du Japon. Elle intègre l’école de bijouterie contemporaine de Paris (AFEDAP) en 2003, puis  elle retourne dans son pays natal. Au Japon elle lance son propre atelier et commence à créer ses bijoux à Tokyo. Elle confectionne des bijoux sur mesure (alliances, bagues de fiançailles, et autres créations originales).
En 2008, Toshiko décide de s’installer en Nouvelle-Calédonie. Là bas elle découvre les perles de Tahiti et commence à les intégrer à ses créations. À son retour en France, elle choisi de se consacrer à la création originale et au développement de sa marque Atelier AKKA.
Début 2019, Toshiko est installée à Montpellier où elle confectionne entièrement ses bijoux en utilisant les savoirs-faire traditionnels de la bijouterie, à la croisée des chemins entre influences japonaises et françaises.

  • Nos créatrices : Anne Krieg, potière et céramiste

Toute petite, Anne Krieg était déjà fascinée par la terre, ses odeurs et ses textures. Un stage de poterie avec sa fille plus tard, cette fascination ne l’a plus quittée. Céramiste à Toulouse, Anne Krieg aime se dire « potière/céramiste ». Elle travaille la terre de manière instinctive, en respectant les couleurs et vertus naturelles du grès ou de la porcelaine. Anne travaille notamment le colombin, technique primitive dans l’art de la céramique utilisée depuis la préhistoire. Cette technique consiste à assembler des boudins afin de sculpter la pièce avec une grande liberté des formes infaisables au tour ou à la plaque. C’est certainement la technique la plus vieille au monde qui ne nécessite quasiment aucun outil. Les pièces obtenues sont pleines d’arrondis et de sinuosités. 

  • Nos créatrices : Fanny Beltrami, créatrice des doudous « Les Gugus »

Fanny donne vie à une sacrée bande de “gugus” au sein de son petit atelier bourguignon. Elle réalise, entièrement à la main des peluchesLes Gugus », en coton et laine biologique. Chaque petit personnage possède sa carte d’identité et son univers imaginaire. C’est à travers un écosystème poétique, riche et doux que Fanny nous emmène. Ces gentils monstres poilus ont chacun leur trait de caractère:  goulus, romantiques, comiques, douillets, coquins… ils seront les compagnons de cœur idéal pour petits et grands enfants.

Elles rejoignent Céline, Claire, Laura, Béatrice, Héloise, Sara, Sylvie, Alexandra et Julie, Karine, Elvire et Marie-Cerise, Moute, Mélissa et Julie, Séverine, Margot et Gabrielle, Isabelle, créatrice des bijoux en céramique Monochromatiques, Laura, céramiste, Charlotte designer paper-arts, Ophélie et Perrine et leurs savons locaux Kashina, toutes les illustratrices et artistes, Agathe Sorlet, Agathe Singer, Charlotte Molas, Cloé Bourguignon, Hélène Lacombe, Léa Morichon, Marion Poujade, Victoria Ducruet, Soledad, Steffie Brocoli…

Les infos Girl Power : Ce qui change en 2022.

  • Une stratégie nationale est mise en place dans la lutte contre l’endométriose

L’endométriose est une maladie  complexe qui touche une femme sur 10.
Difficile à diagnostiquer, longtemps incomprise du corps médical, elle entraîne des complications sur le long terme, telles que des douleurs intenses et de l’infertilité. Invalidante physiquement et moralement, elle impacte de manière irréversible le quotidien. S’exprimant sous 3 formes, plus ou moins sévères, l’endométriose est au cœur d’un nouveau programme de recherche.
Les objectifs sont :

  • Garantir un diagnostic rapide et l’accès à des soins de qualité sur l’ensemble du territoire en s’appuyant sur tous les acteurs susceptibles de détecter l’endométriose ;
  • Communiquer, former et informer l’ensemble de la société sur l’endométriose :  le grand public, les patientes et leurs familles, les professionnels…

Vous avez besoin d’informations sur l’endométriose

  • Une stratégie européenne est mise en place concernant la lutte pour l’égalité entre les femmes et les hommes

Initiée en 2020, cette stratégie en faveur de l’égalité définit des mesures clés pour les 5 prochaines années. Elle s’engage à veiller à ce que la Commission intègre une perspective d’égalité dans tous les domaines d’action de l’UE. Elle est mise en place en étroite collaboration avec le Conseil d’administration de l’Entité des Nations Unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes.
Cette stratégie est d’autant plus actuelle aujourd’hui car ces dernières années de pandémie ont accentuées les inégalité de genre, entraînant un recul des progrès réalisés dans certains pays.

 Les objectifs sont de :

  • Combler les écarts entre les femmes et les hommes sur le marché du travail ;
  • Parvenir à une participation égale dans les différents secteurs de l’économie ;
  • Remédier à l’écart de rémunération et de retraite entre les femmes et les hommes ;
  • Combler l’écart entre les femmes et les hommes en matière de prise en charge des responsabilités familiales.

Le rapport complet est disponible.
Pour aller plus loin : le rapport de la stratégie européenne.

Notre article du 8 mars de l’année dernière par ici.